6.11.14

"Tu couches toute nue dans mon cerveau et je n’ose plus dormir."



 "Quand j’embrasse une femme au creux du cou, que mes lèvres goûtent le grain de sa peau (sans mordre, c’est promis), que je sens le mélange de son odeur unique et de son parfum, que j’écoute son souffle abandonné, je me nourris de ce qui lui est propre, que je ne possède pas et dont j’ai besoin : sa féminité."





"Tu couches toute nue dans mon cerveau et je n’ose plus dormir."
—  Robert Desnos, La liberté ou l’amour
                                                

                                                     

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